Ce qu’ils en disent…

« Bill Bloquet, un clown obnubilé par ses bilboquets de toutes tailles. Pendant une demi-heure, il a rendu une centaine de spectateurs hilares, sans émettre la moindre parole. Son secret ? Une bonne dose de fantaisie,
une pincée de poésie et un zeste de loufoquerie. « Même s’il est seul, on reste captivé par ses mimes, notamment grâce au silence qu’il installe, analyse Sophie, venue en famille. On sent qu’il maîtrise son sujet. » »

Ouest France, Les Échappées Belles, Alençon, Juillet 2021

« Comme à la foire…un très joyeux moment!

Dimanche après-midi, sur Quartiers d’été, la compagnie Attractions et Phénomènes présentait le Gran’rail, un jeu de force très prisé sur les fêtes foraines des années 20 jusqu’aux années 50. A l’invitation de trois compères au bagout intarissable et à l’humour percutant, de très nombreux joueurs, toutes générations confondues, se sont mesurés en lançant de toutes leurs forces un petit wagon. Le but étant qu’il fasse éclater le ballon de baudruche accroché au bout du rail. Mais la côte est raide ! Certains repartiront avec une coupe, d’autres avec une peluche…

La Nouvelle République, 12 juillet 2017, Blois

« Sous les encouragements et les boutades

En revanche, ce ne sont pas encore les commentateurs sportifs et les supporters de l’équipe de France qui font le plus de bruit. On n’entend que Riton, Dédé et Béber, les trois animateurs de l’attraction phare, le Gran’rail, une épreuve de force comme les fêtes foraines des années 30 en avaient toutes. Il s’agit de lancer le plus fort possible une sorte de petit train métallique le long d’un rail incliné vers le haut. Au bout, un ballon, à percer ! Petits, grands, hommes et femmes tentent leur chance sous les encouragements et les boutades des trois volubiles loustiques. Cet après-midi, c’est eux qui ont les trompettes, les cornes de brume et la parole.

Le but de cette fête était de réunir les générations, c’est réussi ! »

La Voix du Nord, 11 juillet 2016, Bruay La Buissière

« Ce dimanche, la Cie Attractions et Phénomènes a réveillé en nous l’esprit forain avec un jeu de force et une caravane abritant des phénomènes étranges. Beaucoup de gens se sont essayés au Gran’Rail, roulant des mécaniques et pensant qu’il serait aisé d’envoyer ce petit wagon tout en haut du rail… seulement même si vous avez été nombreux à réussir cette épreuve, plusieurs ont connu des déceptions, présumant un peu trop de leur force !

Les comédiens étaient pourtant là pour motiver les foules et encourager les participants ! Mais personne, au final, ne sortait perdant, puisque chacun recevait un petit cadeau.

Quant aux phénomènes observés dans La Carlot… et bien nous ne pouvons rien dire ! Il faut garder le mystère pour les prochains curieux…»

Blog des Petits Gratteurs, La Fermesse, juin 2013

rapin

« Flottant comme un gros glaçon dans un apéritif d’amitié, ou encore comme un gigantesque iceberg dérivant sur un arctique d’allégresse (ça va, c’est assez kitsch comme ça ?) : la caravane de Calou !

Là, savamment emboîtés à dix ou douze dans les 25 m3 de sa boutique à phénomènes, le Maître Calou, avec sa classe débonnaire, avec son inénarrable verve faite de gouaille malicieuse et de sémantique virtuose, nous fait découvrir les intrications tourmentées de plusieurs généalogies douteuses qui finirent par produire ces êtres aussi improbables qu’étranges, à savoir la Tête (juste la tête) de Berty, l’homme-araignée, l’enfant-tronc, l’ongle sans doigt, l’avant-bras à sept orteils, le nombril à oreilles et je ne sais plus quoi encore, bref, tout un bric-à-bras d’AGM, d’anatomies génétiquement modifiées si vous préférez.

 Et tout ça sur fond d’anciennes histoires de famille pas très claires où machin rencontre machine et où on apprend que c’était en fait le grand-père par alliance du neveu de la belle-fille, laquelle exerçait autrefois un métier prodigieux, qui mit au monde en deuxièmes noces celui qui deviendra… et puis après on ne sait plus, parce que c’est assez difficile de suivre et de tout comprendre.

Et ce serait même illusoire de penser pouvoir se souvenir de cette histoire très abracadabrante, tellement on rit et tellement qu’on n’écoute plus rien. C’est bien simple : « C’est à pisser aux culottes ! », comme le dit l’élégante formule. »

Benoît de Mérignac, L’Ampoule Foraine